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samedi 27 décembre 2014
vendredi 31 octobre 2014
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Reprise, création d'entreprise avec la Région Île-de-France | Créer sa boîte:
Créer sa boîte en 6 étapes
'via Blog this'mercredi 29 octobre 2014
samedi 25 octobre 2014
dimanche 19 octobre 2014
vendredi 10 octobre 2014
Liste structurée des théories physiques fondamentales
source Liste structurée des théories physiques fondamentales:
Nous allons faire une petite liste des théories fondamentales de la physique, c'est-à-dire qui chacune énoncent des lois fondamentales qui « gouvernent » le monde, qui sont l'explication des phénomènes dits « physiques » (des objets ni vivants ni conscients) tels qu'ils nous apparaissent. Il ne s'agira pas ici d'en expliciter le contenu, mais seulement de nommer les gros titres de manière ordonnée et commentée, comme pour une séance d'introduction générale à une ou plusieurs années de cours de physique qui serait à développer par la suite. Ou pour une récapitulation générale à quelque moment que ce soit.
En un certain sens, on pourrait considérer absurde le fait même qu'il y ait plusieurs théories pour décrire le même univers. En effet, au niveau le plus fondamental, des explications les plus ultimes du monde, on aimerait disposer d'une théorie qui soit la cause et l'explication ultime de tout, pour être cohérent avec le fait que c'est à une réalité unique qu'on a affaire.
Mais au lieu de cela, on trouve un assemblage de différentes théories, dont chacune a pour rôle d'expliquer un aspect particulier de l'univers et des lois qui le gouvernent. Précisons d'abord: ce qui distingue une théorie particulière et la sépare du reste, c'est sa précision et son auto-suffisance (son unité) conceptuelle (mathématique).
Il y a d'abord une hiérarchie définie par l'ordre des explications: un phénomène peut s'expliquer par une théorie B, puis la théorie B elle-même peut s'expliquer par une théorie A. Alors B est une approximation (ou un épiphénomène) de la théorie A, valable à la limite d'approximation pour un certain type de situations dans lequel on peut se trouver à peu près enfermés, mais dont on peut aussi bien sortir.
Alors, des effets de A que ne décrivait pas B, peuvent se faire à nouveau sentir dès que la situation physique s'éloigne de celle où B s'appliquait, ou dès qu'on veut tester les résultats des expériences avec une meilleure précision. On dit que A est plus fondamentale que B, ou que B est une théorie phénoménologique vis-à-vis de A. Les théories A et B sont concevables séparément: la théorie B se suffit à elle-même sans avoir besoin de se souvenir qu'elle se déduit de A, et A est logiquement première et comporte des effets subtils incompréhensibles dans les termes de B.
Cette hiérarchie peut se réitérer sur plusieurs étapes successives. A savoir, des phénomènes particuliers sont expliqués par certaines lois dites phénoménologiques (moins fondamentales) qui elles-mêmes s'expliquent comme résultant de lois plus fondamentales, qui elles-mêmes s'expliquent par des lois plus fondamentales encore...
Peut-on ou non arriver au sommet d'une telle chaîne d'explications ? Qu'importe ! Telle est la ruse qui permet à la physique de se pratiquer: tout ce qui « compte » c'est que, dans des circonstances particulières auxquelles on a affaire, on dispose d'une certaine théorie explicative précise dont, rigoureusement, se déduisent les phénomènes considérés. On n'a pas besoin de chercher plus loin, car il n'y a pas de plus simple manière d'expliquer des phénomènes particuliers, qu'en termes de la théorie phénoménologique la plus plus proche.
Autrement dit, si A explique B qui explique un ensemble de phénomènes C, alors si on veut comprendre C il est plus simple de l'expliquer directement par B sans s'occuper de A, que comme conséquence de A. En effet, il n'y a pas de plus simple manière d'expliquer comment C résulte de A, que celle qui consiste à expliquer d'une part comment A explique B, d'autre part comment B explique C.
Ainsi et plus généralement, le fait même de savoir quelle théorie gouverne en principe un phénomène donné, ne suffit pas toujours à comprendre le phénomène. Il y a à cela une raison possible principale: la complexité parfois énorme des calculs et raisonnements intermédiaires, même si dans l'absolu il n'y a qu'un résultat possible. Une autre raison possible est l'ignorance des détails de la configuration initiale du sytème (car les lois ne font que préciser les relations entre causes et effets, autrement dit comment se succèdent temporellement les états physiques, mais ne précisent pas la situation physique initiale qui est cause d'un effet donné). Enfin il y a des indéterminations plus essentielles des effets, même en connaissant toutes les causes physiques: le hasard « absolu » quantique et l'effet papillon.
Une autre hiérarchie entre théories, est celle qui distingue une théorie cadre, d'une théorie spécifique.
L'exemple le plus simple est de dire que la vie de tous les jours a pour cadre l'espace (géométrie euclidienne), et l'écoulement du temps. En effet, tout ce qui peut se passer, se passe en un certain lieu, sur une certaine largeur, en un certain temps et sur une certaine durée. Aucun phénomène de la vie de tous les jours ne peut se décrire en échappant à ces catégories; mais ces catégories ne suffisent pas à préciser qu'est-ce qui, en l'occurence, peut se passer dans l'espace et le temps, ce qui doit faire l'objet d'une théorie plus spécifique.
Notamment, on passe d'une théorie cadre à une théorie spécifique en précisant des valeurs particulières de paramètres qui servent de constantes universelles, et qui dans la théorie cadre étaient regardées comme des variables libres (autorisées à prendre n'importe quelles valeurs supposée fixes).
Si donc une théorie A est le cadre d'une théorie B, alors A est concevable en elle-même, mais B n'est pas concevable séparément de A. La théorie A sert de langage pour formuler B, qui nécessite toutes les ressources de la théorie A pour pouvoir se comprendre. Mais cela n'est pas pour autant la même théorie: de A seule on ne peut pas déduire quelle est la théorie B qui intervient. On peut dire que la théorie B est contingente à la théorie A: elle est un cas particulier d'exercice de toutes les ressources de A.
En fait, une théorie cadre est en quelque sorte à une théorie spécifique ce qu'une théorie est à un système physique particulier, ou à la donnée d'une configuration initiale précise d'un système. Comme la gravitation de Newton est la théorie cadre de la description du système solaire: elle ne précise pas les masses des objets à un instant donné, qui font partie de la description du système solaire.
Ou plus précisément il en serait ainsi si ce système physique était seul dans l'univers. Ce à quoi on peut aussi bien se ramener abstraitement en imaginant un univers ne comportant que ce système. Bien sûr, le fait de se restreindre à un système physique particulier est hors-sujet dans la liste de théories universellement valables qu'on va dresser ici: on veut uniquement des théories vraies dans tout l'univers. Simplement, il serait en principe concevable que d'autres univers soient gouvernés par d'autres théories spécifiques à l'intérieur de la même théorie cadre que celle dans laquelle nous nous trouvons.
Le cadre le plus ultime de toutes les théories telles qu'elles sont normalement attendues en physique, c'est les mathématiques.
Malheureusement, le manque d'attention traditionnel envers la classification des théories physiques, fait qu'elles n'ont pas toutes reçu un nom officiel, de sorte qu'il faudra parfois en inventer.
jeudi 9 octobre 2014
domain-kb.com - Base de données sur les domaines
domain-kb.com - Base de données sur les domaines:
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mardi 7 octobre 2014
OpenClassrooms - Great teachers, bright classmates.
OpenClassrooms - Great teachers, bright classmates.:
942 cours gratuits en ligne. Une communauté de 831 175 professeurs et étudiants.
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LES COURS LES PLUS OUVERTS DU WEB
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dimanche 28 septembre 2014
vendredi 26 septembre 2014
mercredi 17 septembre 2014
Internet Live Stats - Internet Usage & Social Media Statistics
Internet Live Stats - Internet Usage & Social Media Statistics:
plus d'un milliard de sites sur le réseau internet, et ce chiffre augmente en permanence, selon les derniers relevés établis en temps réel, mardi 16 septembre, par le site spécialisé Internet Live stats.
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plus d'un milliard de sites sur le réseau internet, et ce chiffre augmente en permanence, selon les derniers relevés établis en temps réel, mardi 16 septembre, par le site spécialisé Internet Live stats.
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mardi 3 juin 2014
Unibrander, l'outil universel de recherche de marques
Unibrander, l'outil universel de recherche de marques: "outil universel de recherche de marques"
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vendredi 30 mai 2014
Imprimante 3D : une société chinoise construit 10 maisons en 24 heures chrono | FrenchWeb.frFrenchWeb.fr
SOURCE
Imprimante 3D : une société chinoise construit 10 maisons en 24 heures chrono | FrenchWeb.frFrenchWeb.fr:
Les maisons seront commercialisées 3 470 euros l’unité
L’impression 3D ne se limite pas aux petits objets. Preuve en est, la société chinoise WinSun Decoration Design Engineering Co, basée à Shanghai, vient de réaliser un tour de force en « imprimant » une dizaine de maisons dans un laps de temps relativement court : 24 heures. Chaque construction – assemblée à partir de déchets et de matériaux recyclés – sera par la suite commercialisée 4 800 dollars, soit à peu près 3 470 euros.
Il faut dire que la société a su s’équiper : elle a utilisé une imprimante de 32 mètres de long, 10 mères de large et 6 mètres de haut selon le Business Insider. « Nous avons acheté les pièces détachées de l’imprimante a l’étranger et avons assemblé la machine dans une usine à Suzhou » explique le président de l’entreprise, Ma Yihe, à 3ders.
Plusieurs sociétés se sont déjà positionnés sur la fabrication de maison par impression 3D, des chercheurs de la University of Southern California avait déjà construit une machine capable de fabriquer une maison par jour en janvier dernier. Une maison de 13 chambres en plastique fabriquées par imprimante a déjà commencé à être installée à Amsterdam ce mois-ci par DUS Architects.
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Bayer CropScience, le CNRS et l'Université de Strasbourg créent un nouveau laboratoire commun de recherche sur le fluor - Communiqués et dossiers de presse - CNRS
SOURCE
Bayer CropScience, le CNRS et l'Université de Strasbourg créent un nouveau laboratoire commun de recherche sur le fluor - Communiqués et dossiers de presse - CNRS:
Après de longues années de fortes collaborations autour de la chimie du fluor, Bayer CropScience, le CNRS, et l'Université de Strasbourg viennent de signer la création du laboratoire commun de recherche « Chimie des composés organiques fluorés » (C2OF).
Des chercheurs de Bayer, associés à l'équipe de Frédéric Leroux, chercheur CNRS au Laboratoire de chimie moléculaire de Strasbourg (CNRS/Université de Strasbourg) vont collaborer pour approfondir les connaissances sur la chimie des composés organiques fluorés. Le fluor est un composé présent dans de nombreux produits des industries agroalimentaires, pharmaceutiques, électroniques…
Mieux connaitre sa chimie est un enjeu important tant sur le plan fondamental que pour les développements industriels et notamment pour la découverte de solutions de protection des plantes de demain. La création de ce nouveau laboratoire commun est annoncée lors du symposium autour du fluor, organisé le 23 mai 2014 à l'Université de Strasbourg.
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samedi 8 mars 2014
Télécharger, téléchargement, logiciel, logiciels, utilitaire, utilitaires, gratuit, gratuits, antivirus, firewall, winzip, winrar, firefox, winamp, quicktime, realplayer, mp3, divx, msn, icq, everest, aida, adobe, acrobat, powerdvd, powerstrip
jeudi 6 mars 2014
Les systèmes d'information: 1.1 - Qu'est-ce que l'information ?
Les systèmes d'information: 1.1 - Qu'est-ce que l'information ?:
http://courssi2012.blogspot.fr/2012/09/11-quest-ce-que-linformation.html
L'expression « système d'information » date du début des années 1970 et correspond à une situation historique particulière sur laquelle nous reviendrons. Avant cela il convient d'examiner de près le mot « information ».
Shapiro et Varian [36] considèrent que l'information, c'est l'ensemble des documents : ils suggèrent ainsi une synonymie entre « information » et « documentation ». La « théorie de l'information » de Shannon [35] associe à chaque document la mesure du nombre minimal de bits nécessaire pour le reproduire : l'information serait ainsi une mesure du volume de données non redondantes que le document contient. La « science de l'information » décrit les techniques qui permettent de classer un corpus de documents afin d'y trouver aisément ceux dont on a besoin. Ackoff [1] définit enfin l'information comme « les données qui sont traitées afin d'être utiles, et de répondre à des questions comme "qui", "quoi", "où" et "quand" ».
Ces définitions sont toutes critiquables. Parmi les documents qui comportent un nombre donné de caractères, ceux qui apporteraient selon Shannon le plus d'information seraient ceux dont les caractères ont été tirés au hasard car ils ne comportent aucune redondance. Cependant lorsqu'on est confronté à un document illisible ou incompréhensible le langage courant dit avec raison qu'il « n'apporte aucune information », quelle que soit sa longueur...
L'étymologie est plus éclairante : « informer », c'est donner une forme intérieure en donnant au mot « forme » le sens qu'il a chez Aristote et qui désigne l'essence, ou la définition, d'un être en interaction avec d'autres êtres. « Former » quelqu'un, ou mieux l'informer, c'est donc lui procurer une capacité d'agir.
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L'expression « système d'information » date du début des années 1970 et correspond à une situation historique particulière sur laquelle nous reviendrons. Avant cela il convient d'examiner de près le mot « information ».
Shapiro et Varian [36] considèrent que l'information, c'est l'ensemble des documents : ils suggèrent ainsi une synonymie entre « information » et « documentation ». La « théorie de l'information » de Shannon [35] associe à chaque document la mesure du nombre minimal de bits nécessaire pour le reproduire : l'information serait ainsi une mesure du volume de données non redondantes que le document contient. La « science de l'information » décrit les techniques qui permettent de classer un corpus de documents afin d'y trouver aisément ceux dont on a besoin. Ackoff [1] définit enfin l'information comme « les données qui sont traitées afin d'être utiles, et de répondre à des questions comme "qui", "quoi", "où" et "quand" ».
Ces définitions sont toutes critiquables. Parmi les documents qui comportent un nombre donné de caractères, ceux qui apporteraient selon Shannon le plus d'information seraient ceux dont les caractères ont été tirés au hasard car ils ne comportent aucune redondance. Cependant lorsqu'on est confronté à un document illisible ou incompréhensible le langage courant dit avec raison qu'il « n'apporte aucune information », quelle que soit sa longueur...
L'étymologie est plus éclairante : « informer », c'est donner une forme intérieure en donnant au mot « forme » le sens qu'il a chez Aristote et qui désigne l'essence, ou la définition, d'un être en interaction avec d'autres êtres. « Former » quelqu'un, ou mieux l'informer, c'est donc lui procurer une capacité d'agir.
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OpenClassrooms, Le Site du Zéro - Les cours les plus ouverts du Web
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800 cours gratuits en ligne. Une communauté de 600 000 professeurs et étudiants"
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